retour
MD1
« Le labyrinthe est le symbole de nos vies.
Versailles est le symbole du pouvoir.
La Nuit Blanche est un espace de liberté où chacun se promène.
Le lien continu dans mon travail est de faire vivre une mise en abîme, une perte de pesanteur, une sensation d’abandon et d’élévation ; par l’expérience esthétique, affective ou émotionnelle, elle conduit à l’intimité vécue de la lumière. »
Le but de cette installation était de travailler sur un effet de miroir entre les bosquets de la Girandole et du Dauphin. Le premier était habité de miroirs bicolores qui, à la tombée de la nuit, campaient de nombreux reflets, comme des cadres fixes, décalés. Au cœur du bosquet, un faisceau s’élever vers le ciel. Une voix narrative s’élevait : elle parlait d’intimité, de création, d’abandon. Figuration des mots.
Symétrique au premier, le visiteur pénétrait dans le second bosquet muni d’un ballon écologique blanc irisé, remis à l’occasion. Un ballon qu’il devrait lâcher en retour dans le faisceau de lumière. Posséder / déposséder. Acte de générosité.
Sur une composition de piano crée par Henri Scars Struck, les visiteurs laissaient s’envoler leurs ballons, plein d’espoir que celui-ci touche le faisceau, et éclabousse les deux bosquets d’un flash de lumière. Naissance d’une constellation d’étoiles.
Une invitation à l’abandon, au rêve, au silence. Moments de vie suspendus.
Versailles est le symbole du pouvoir.
La Nuit Blanche est un espace de liberté où chacun se promène.
Le lien continu dans mon travail est de faire vivre une mise en abîme, une perte de pesanteur, une sensation d’abandon et d’élévation ; par l’expérience esthétique, affective ou émotionnelle, elle conduit à l’intimité vécue de la lumière. »
Le but de cette installation était de travailler sur un effet de miroir entre les bosquets de la Girandole et du Dauphin. Le premier était habité de miroirs bicolores qui, à la tombée de la nuit, campaient de nombreux reflets, comme des cadres fixes, décalés. Au cœur du bosquet, un faisceau s’élever vers le ciel. Une voix narrative s’élevait : elle parlait d’intimité, de création, d’abandon. Figuration des mots.
Symétrique au premier, le visiteur pénétrait dans le second bosquet muni d’un ballon écologique blanc irisé, remis à l’occasion. Un ballon qu’il devrait lâcher en retour dans le faisceau de lumière. Posséder / déposséder. Acte de générosité.
Sur une composition de piano crée par Henri Scars Struck, les visiteurs laissaient s’envoler leurs ballons, plein d’espoir que celui-ci touche le faisceau, et éclabousse les deux bosquets d’un flash de lumière. Naissance d’une constellation d’étoiles.
Une invitation à l’abandon, au rêve, au silence. Moments de vie suspendus.